▌21ans. ▌né le 25 décembre 1988 dans une petite ville de New York - au choix. ▌au choix dans New York. ▌hétérosexuel. ▌Américaine. ▌Ohio university. ▌Luke Grimes - peu négociable. ▌
Spoiler:
Diego, vient d'une famille qui ne roulait pas sur l'or; on pourrait même dire qu'avec quatre enfants, c'était dure de joindre les bouts tous les mois. Pourtant, cette famille à tout bon, une famille très liée, ayant un élan de générosité comme jamais vu, et pourtant, ils ne sont pas assez riches pour partager leurs sous. Diego est un jeune homme maintenant, très bien élevé, qui fréquente tout genre de milieu, pour lui il n'y a vraiment pas d'importance, bien au contraire, il réussit parfaitement ses études c'est un bon élève, mais qui ne passe pas de temps dans ses devoirs, ce gosse est intelligent de naissance que voulez vous. Il passe la plupart de son temps dans les fêtes, toujours le premier sur la liste des invités, ou bien il est dans des bars, avec une clope au bec, enfin il vit sa vie comme il le veut, il n'est pas un coureur de jupon - quoi que il aime bien séduire, et les filles aiment bien son physique; malheureusement, sa relation avec Justine complique tout ça...
—Alors comme ça tu t’appelles Raphaël Vintage, mais dis moi, que font tes parents dans la vie ? —Mon père il est routier, et ma mère elle s’occupe de mes trois petits frères, elle dit toujours que même si ce qu’elle fait n’est pas rémunéré, c’est un travail comme un autre ! —Oui enfin disons, qu’elle a que ça à faire après tout ; elle doit bien trouver le temps. Parce que regardes, Justine elle, a deux parents qui travaillent tous les deux, malgré qu’ils aient trois enfants à charge tous les jours. —Papa ; arrêtes là. —Mais enfin chérie ; il faut bien lui apprendre la vie à ce jeune homme, et puis je m’intéresse, je ne te laisse pas sortir avec n’importe qui, ta mère et moi t’avons déjà parlé à ce propos. —Bon Justine tu es prête ? Le taxi nous attend dehors ; j’aimerais ne pas le faire attendre trop longtemps… —J’arrive dans sept minutes Raph’ laisse moi le temps de jeter un dernier coup d’œil à ma coiffure. —Alors comme ça un taxi vous attend ? Mais dis moi, j’espère vraiment que tu n’as pas volé cet argent, ou que tu ne te ruine pas pour Justine. —Laissez-moi tranquille avec votre air de petit bourges, même si mes parents ne roulent pas sur l’or comme vous, j’ai le droit d’avoir des amis comme Justine justement. —Ne t’énerves pas, tiens prend cette enveloppe, tu y trouveras quelques billets pour la soirée, tu pourras emmener Justine dans un restaurant chic, et puis tu la gâteras en petits cadeaux surprises. —Mais…mais gardez votre argent, je ne veux pas de votre pitié, Justine m’avait bien dit du mal de vous ; mais je ne pensais pas à ce point !! C’est bon vous avez gagné, je me casse, et soyez tranquille je ne reviendrais pas. —Papa ? Raphaël ? Qu’es-ce qu’il se passe ici ? —Mon ange, ce n’était pas un type pour toi, c’est mieux comme ç… —Mais lâches moi, qu’es-ce que tu en sais toi hein ? Rien, j’étais heureuse avec lui, et ce n’est pas parce qu’il ne m’emmenait pas dans des restaurants luxueux que je ne devrais pas le fréquenter… Et c’est quoi cet enveloppe à tes pieds ?
Justine ramassa l’enveloppe qui était aux pieds de son père ; elle ne se doutait pour le moment de rien, mais la réalité allait vite faire surface. Son père avait toujours été comme ça ; il l’a protégé depuis toujours, et malgré que Justine ai 15ans, il se sentait encore obligé de la surveiller, et surtout d’interroger tous ses amis ; quand il ne connaissait ni le père et ni la mère de ceux-ci. Et puis comme vous l’avez si bien vu, quand les amis de Justine venaient d’un milieu plutôt pauvre, et bien, il ne se privait pas de prendre pitié de la personne, pour mieux la virer de chez lui, et surtout des pattes de sa seule et unique fille. Cependant à force de trop vouloir bien faire tout aller lui retomber dessus à coup sûr ; puisque Justine n’aimait pas la façon de procéder de son père, et aimait encore moins quand il se permettait d’éjecter – oui c’est le terme – son petit ami en direct, et de faire passer Justine pour une grosse fille à papa, une bourge – plus-bourge-tu-meurs- ainsi c’était sûr, elle pouvait tirer un trait sur Raphaël, elle ne le reverrait plus jamais ; son père avait été trop loin. Comme beaucoup de fois d’ailleurs, et ça n’allait pas en s’arrangeant, surtout que son frère ainé, Nolan, s’y mettait à son tour, comme-ci elle n’avait pas assez de protection rien qu’avec son père. S’il pouvait la filmer 24heures sur 24 ; ou encore lui mettre un micro dans ses vêtements, il le ferait. Justine découvrit enfin l’argent dans cette putain d’enveloppe. Elle ne sût répondre, à tant de dégoût envers son père, tant de peine pour lui, tant d’injustice, tant de haine surtout. Son père prit donc l’initiative de lui expliquer la situation, ou plutôt se justifier d’un acte impardonnable pour Justine.
—Justine ça suffit maintenant, tu comprendras quand tu seras plus grande, je fais ça pour ton bien, tu n’arrive pas encore à gérer tout ça toi-même… —Tu as donné de l’argent à Raphaël ? —Ne penses plus à ça va, il vaut mieux que tu ailles te coucher demain tu as ton cours de golf je te rappelle. —Je te demande si tu as donné cet argent à Raphaël pour qu’il puisse m’emmener dans un hôtel cinq étoiles, et toi tout ce que tu trouves à me répondre c’est que j’ai un cours de golf demain ? UN COURS DE GOLF DEMAIN ? Mais bordel j’en ai rien à faire de ce putain de golf, et j’ai encore moins envie de dormir, là je veux un explication. —Justine, je fais ça pour te protéger ma belle et tu le sais très bien alors arrêtes de te rebeller ça devient lassant, je préférerais que tu montes dans ta chambre te reposer tout de même. —Mais oui bien sûr ; c’est toujours pour mon bien de toute manière, toi et maman vous comprenez rien, vous êtes juste deux boulets, et vous me faîte sans arrêt du mal. —Je t’interdis de dire ça, files dans ta chambre avant que je m’énerve. — …
Raphaël et Justine ne viennent pas du même milieu social, et à cause de ça, ils ont du être séparé. Disons, que le père de Justine ne voulait pas que sa fille fréquente des mecs qui ne roulaient pas sur l’or. Justine était contre ça, mais c’était impossible d’aller à l’encontre de son père, qui était bien trop puissant et protecteur envers elle. Voilà pourquoi, elle ne revu pas Raphaël pendant quelques années, jusqu’à son entrée à l’université de l’Ohio, où elle l’a retrouvé, faut dire, qu’elle ne l’avait franchement pas oublié, et lui non plus, loin de là, mais il ne lui a toujours pas pardonné que son père l’humilie autant.
—Putain Raphaël c’est bien toi ?! —Ouai. —Mais qu’es-ce que tu fais là ? —Je fais mes études comme tu vois, dans une école pour les élèves modestes. Et toi tu m’expliques, tu n’es pas rentré dans la grande université Harvard ? —Je vois, tu n’as toujours pas oublié… —Non toujours pas. —Je peux m’asseoir à côté de toi ? —Voyant la superficie du parc, tu as d’autres endroits où aller. —Mais bordel Raphi, ce n’est pas parce que mon père veut pas qu’on soit ensemble qu’il faut l’écouter, à ce que je sache, c’est avec moi ou avec lui que tu comptes passer la plupart de ton temps ? —…
Voilà comment furent les premières retrouvailles entre eux. Pourtant, depuis quelques mois, ils deviennent de plus en plus proches, et les sentiments refont surfaces ; l’un comme l’autre, ils passent de plus en plus de temps ensemble, et après quelques explications, quelques engueulades encore, ils deviennent plus que complice. Non ils ne sortent pas ensemble – pas encore du moins ; peut-être que ce voyage avec l’université de Harvard va changer quelque chose entre eux, un quelconque rapprochement, quelques flirts ? Seulement voilà, à force de jouer au chat et à la souris, leur relation tourne à je t’aime moi non plus.
—Raphaël qu’es-ce qu’y te prend ? —Je suis en manque Ju’. —Quoi ? Je n’arrive pas à te suivre là ? —Embrasses moi !! —Mais ça va pas, pas là, pas maintenant. —Aller Justiiiiiiiine tu m’avais promis. —Mais t’abuses là, je t’avais rien promis, encore moins un baiser coco. —S’il te plaît. —Va te faire voir ! —Je sais que tu en as autant envie que moi. —… —Tiens je le savais ! Pas besoin de me le dire —Tu me saoules Raph’ dégages.
Pour plus de détails par mp.
Justine V. O'Connor
Messages : 54 Date d'inscription : 12/07/2009
Sujet: Re: My friends &. co ▌ Raphy. [luke grimes] libre Lun 13 Juil - 16:59